Hormone use after radiotherapy failure: a survey of Canadian uro-oncology specialists Journal Articles uri icon

  •  
  • Overview
  •  
  • Research
  •  
  • Identity
  •  
  • Additional Document Info
  •  
  • View All
  •  

abstract

  • Introduction: A survey of Canadian uro-oncology specialists wasperformed to assess practice patterns of patients with recurrentprostate cancer postradiotherapy and to assess the feasibility ofconducting a trial in this setting.Methods: There were 14 survey questions and 1 demographic question.Responses were reported by frequency.Results: There were 96 respondents. Most respondents use bothprostate-specific antigen doubling time (PSAdt) and PSA levelwhen deciding to start androgen deprivation therapy (ADT) inasymptomatic patients. About half of respondents start ADT whenPSA is greater than 10 ng/mL or when the PSAdt is less than6 months. Eighty-six percent felt that the timing of ADT was animportant research question. Over 1500 patients per year wereestimated as being available for such a trial.Conclusion: After radiotherapy failure, respondents initiated ADTabout half of the time when PSA is less than 10 ng/mL and/orPSAdt is less than 6 months. A clinical trial examining the timingof ADT has strong support and appears to be feasible.Introduction : Un sondage mené auprès d’uro-oncologues cana diensa été mené afin d’évaluer les tendances concernant le traitement depatients atteints de cancer récurrent de la prostate après une radiothérapieet d’évaluer la faisabilité d’une étude dans ce contexte.Méthodologie : Le sondage comportait 14 questions portant sur lestraitements et 1 question de type démographique. Les réponsesétaient groupées par fréquence.Résultats : Quatre-vingt-seize médecins ont participé au sondage.La majorité des répondants se basent sur le temps de doublementde l’APS et les taux d’APS pour décider du moment optimal pouramorcer un traitement antiandrogène chez les patients asymptomatiques.Environ la moitié des répondants entreprennent un traitementantiandrogène lorsque le taux d’APS dépasse 10 ng/mL oulorsque le temps de doublement de l’APS est inférieur à 6 mois.Quatre-vingt-six pour cent des répondants ont indiqué que le momentoptimal pour l’amorce du traitement antiandrogène représentaitune importante question de recherche. On estime que plus de1500 patients par année seraient admissibles à une telle étude.Conclusion : Après l’échec d’une radiothérapie, les répondants entreprennentun traitement antiandrogène dans environ la moitié descas lorsque l’APS est inférieur à 10 ng/mL et/ou lorsque le tempsde doublement de l’APS est inférieur à 6 mois. Un essai cliniqueportant sur la détermination du moment optimal pour l’amorce dutraitement antiandrogène est fortement souhaité et semble faisable.

authors

  • Loblaw, D Andrew
  • Pickles, Tom
  • Cheung, Patrick C
  • Lukka, Himu
  • Faria, Sergio
  • Klotz, Laurence

publication date

  • December 2009